Celui
qui arrive le premier sur le champ de bataille pour attendre l’ennemi sera
reposé, celui qui arrive le dernier sur le champ de bataille et se précipite au
combat sera épuisé. C’est pourquoi le bon combattant doit attirer l’ennemi et
ne pas être attiré par lui.
Celui
qui ne connaît pas les plans de l’ennemi ne peut l’approcher avant la bataille;
celui qui ne connaît pas la configuration des forêts et des montagnes, des
défilés et des marécages, ne peut faire avancer son armée; celui qui n’utilise
pas les guides locaux ne peut tirer avantage du terrain.
Celui
qui fait la guerre en arrivant à ses fins par la ruse, en manoeuvrant
l’ennemi grâce a des appâts, en se regroupant alors qu’il oblige l’ennemi à se
disperser, sait s’adapter.
Il
faut être rapide comme le vent, posé comme la forêt, destructeur comme le feu,
inamovible comme la montagne, secret comme l’ombre, surprenant comme un coup de
tonnerre.
En
période de pluies torrentielles, celui qui désire traverser un fleuve à gué
doit attendre qu’il ait décru.
La
force d’une armée ne réside pas dans son importance numérique; il ne faut pas
avancer en ne tenant compte que de la force militaire; c’est seulement en
utilisant à la fois sa propre puissance et l’évaluation de l’ennemi que l’on
pourra s’en emparer; donc, celui qui ne réfléchit pas et sous-estime l’ennemi
sera capturé
...........
Et pensez aux marges marges des founisseurs >>>>
- Décomposez les coûts
- Simulez les marges
Nous vous communiquerons un outil de simulation
Et je rajoute en passant :
RépondreSupprimerLa disposition des forces dans la tactique de masse (batailles) correspond à une mise en garde. Tout est moyen permettant d'atteindre la victoire dans les combats. Une position figée est mauvaise. Il faut bien y songer.
Miyamoto Musashi (16ème siècle)